Un ange gardien est un être spirituel, intermédiaire entre Dieu et l’homme. Son rôle est de guider et protéger un humain vers la voie du bien et de la sagesse. C’est initialement dans la religion catholique que ce concept d’ange protecteur s’est développé, dès le Vème siècle. On peut également les rapprocher des personnages de « bons génies » de la tradition orientale.
Chaque être humain sur terre bénéficie de l’accompagnement de son ange gardien. Certains percevront sa bienveillance et sa protection, d’autres hélas y seront sourds et certains même peuvent y être hostiles. L’ange gardien accompagne un être humain tout au long de sa vie terrestre. Il sera aussi présent lors de son passage dans l’au-delà à l’heure de sa mort.
Le concept d’ange gardien s’est également développé dans la Kabbale et une pratique divinatoire en découlé, l’angélologie. En voici les grandes lignes :
Il existe neuf familles d’anges gardiens. Chacune se compose alors de huit icônes, soit 72 anges au total. Chaque être humain est relié à un de ces anges avec laquelle il est possible d’entrer en connexion. Son ange protecteur émet une énergie vibratoire, source de bienfait spirituel et de plénitude.
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L’Ânkh (en hiéroglyphes égyptiens : ☥), est également connu sous les appellations de croix ansée, croix de vie, clé de vie, croix égyptienne ou du Nil. Il s’agit d’un hiéroglyphe représentant le mot ˁnḫ, qui signifie « vie ». On caractérise ce symbole par un symbole en T dont la partie supérieure se termine par un cercle.

Pour les Égyptiens le séjour sur terre n’était qu’une partie de leur vie terrestre, et donc, de leur vie éternelle.
Ce symbole de vie symbolise évoque donc non seulement l’existence mortelle sur la Terre, mais également l’existence dans l’au-delà.
Lorsque la croix est bleue, l’ânkh est associée aux divinités et au ciel, or et jaune, elle est associée au Sud, verte elle est liée au Nil Vert et au Nord, argent brillant correspond à la vie sur Terre, et enfin argent oxydé, elle évoque l’Ouest et le monde des morts.
L’anthracomancie est une pratique divinatoire effectuée par l’étude du charbon. L’antracomancie ou l’anthracomancie vient du grec ancien, composé de ἄνθραξ, ánthrax (« charbon ») et de μαντεία, manteia (« divination »)
De nos jours, l’anthracomancie n’est plus réellement pratiquée. Une raison simple semble expliquer cela : l’utilisation des gazinières et fours modernes ont banni le charbon des cuisines des ménages. L’occasion de voir du charbon ardent est donc devenu rare, du moins dans une cuisine.
Il semble toutefois que cette pratique persiste dans certains pays d’Afrique où le charbon est encore largement utilisé quotidiennement.
L’anthracomancie est donc une technique de divination via la matière du charbon de terre ou minéral. La pratique consiste en l’observation des braises suscitées par sa combustion, afin d’interpréter les phénomènes.
Le peu que l’on sait des signes interprétables tient en quelques éléments :
– Le son provoquée par la combustion : en cas de crépitement, le présage est plutôt néfaste ; il signifierait une situation à venir difficile, voire impossible à maîtriser (par exemple pour un marin : une tempête ou tout simplement pour tout un chacun, un décès, une rupture, etc.),
– La couleur des braises : d’une couleur vive et franche, le présage s’annoncerait favorable,
– La fumée. Son absence totale se révèlerait défavorable. Un fumée fine et claire indiquerait des réponses positives quant aux questionnements d’un consultant.