L’encromancie est une pratique de prédiction de l’avenir dans les tâches d’encre.
Cette art divinatoire nécessite le jet de l’encre sur une feuille de papier, jusqu’à ce qu’une forme se dessine. Cette dernière est ensuite l’objet de l’interprétation du médium.
En pratique, il faut commencer par prendre une feuille de papier et la plier en hauteur. Ensuite, il est nécessaire d’écrire au dos du papier le nom, le prénom et la question du consultant. Après avoir jeté 3, 7 ou 13 jets d’encre (la couleur n’a pas d’importance) , il faut plier la feuille en 2 par le milieu et encore en 2 à l’horizontale. Ensuite, le voyant écrase l’encre uniformément et la laisse sécher pendant quelques instants.
Une fois la feuille rouverte, le médium peut passer à l’étape de l’interprétation des tâches.

Franz Anton Mesmer, est né le 23 mai 1734 à Iznang dans le Grand-Duché de Bade, région dans laquelle il décèdera, à Meersburg le 5 mars 1815. Médecin de formation, il est l’un des théoriciens du magnétisme, par ailleurs créateur de la théorie du magnétisme animal, aussi connue sous le nom de mesmérisme.
La magnétisme animal
Alors résident à Paris, Mesmer publie, en 1779, son Mémoire sur la découverte du magnétisme animal.
L’une des thèses principales de Mesmer est de présupposer l’existence d’un fluide physique subtil qui se trouverait en tous points de l’univers. Cet fluide pourrait servir d’intermédiaire entre l’homme, la terre et les tous les astres d’une part, et d’autre part entre les êtres vivants eux-mêmes. Pour Mesmer, toute inégalité de répartition du fluide dans le corps humain entraînerait la maladie. De ce fait, en parvenant à rééquilibrer la répartition du fluide, on parvient à la guérison de ladite maladie.
A la publication de son Mémoire, son succès parisien est immédiat dans la bonne société. Les patients affluent pour être traités via les méthodes de Mesmer. On évoquera par exemple la technique du baquet. Un baquet se présente sous la forme d’un demi-tonneau autour duquel s’installe les patients, liés les uns aux autres par des cordes. Mesmer a personnalisé son baquet en le transperçant de part en part de barres métalliques destinées à rentrer en contact avec les zones du corps à traiter. Mesmer et ces aides traitaient ainsi les patients en touchant les parties du corps à soigner avec ces tiges métalliques.
Magnétiseur et astrologue ?
Si son célèbre Mémoire sur la découverte du magnétisme animal, posa Mesmer comme l’un des théoriciens fondateurs du magnétisme moderne, on rappelle qu’en 1766 il publiait déjà à Vienne De l’influence des planètes sur le corps humain, ouvrage ô combien important quant on étudie l’astrologie !
Le texte intégral du Mémoire sur la découverte du magnétisme animal peut être consulté et téléchargé gratuitement sur Wikisource.
La Garosmancie est une divination étudiant les effets d’une flamme sur un récipient transparent rempli d’eau claire.
Cette pratique s’effectue généralement en plaçant des vases de verre transparent remplis d’eau au milieu d’une source de flamme telle que des flambeaux, des bougies ou encore des torches.
La lumière des flammes produit ainsi sur l’eau des effets d’optique. C’est à l’aune des questions que posent le devin que sont étudiées les réfractations de la lumière sur l’eau afin d’apporter des éléments d’interprétation aux devins.
Une divination prisée en Grèce antique
La garosmancie, aussi appelée gastromancie était très prisée des Grecs et des Égyptiens durant l’antiquité. Traditionnellement, les questions étaient posées par de jeunes femmes ou de jeunes hommes, aux cheveux longs.
De nos jours, les gastromanciens se font rares et il existent peu de praticiens de cette art divinatoire.
Gastromancie, ventriloquie ?
La garosmancie est souvent associée à la ventriloquie. En effet, certains devins psalmodiaient, les lèvres fermées, tels des ventriloques, les messages perçus suite à l’observation du liquide sous l’influence des flammes.
Cette pratique fut souvent associée au charlatanisme, tant certains devins indélicats prétendaient que la voix exprimant les messages ne venaient pas de leur être mais de l’au-delà ou tout du moins du ciel.
Cette pratique étant désormais tombée en désuétude, il est difficile de faire la part de réalité et de charlatanisme dans la pratique de la garosmancie.
Le signe astrologique des Gémeaux est lié aux personnes nées entre le 21 mai et le 21 juin. Le signe des Gémeaux est lié à l’élément classique de l’Air ; c’est donc censé être un signe de communication ; il partage cet élément avec la Balance et le Verseau. Son opposé polaire est le Sagittaire. Ses traits principaux sont : la distribution, la compréhension et l’adaptation.
D’une manière générale, les Gémeaux sont positifs, souriants et très sociables. Intellectuels et curieux, ce sont des êtres de communication, souvent de très bons orateurs. Leur nature positive et audacieuse se combine avec une grande sensibilité qui s’exprime via leur créativité. Les Gémeaux apprécient la nouveauté, la liberté et la découverte.
Toutefois, les natifs de ce signe usent de leur capacité de communication jusqu’à la séduction, voire la manipulation. Viscéralement attaché à leur liberté et à leur indépendance, ils supportent mal la critique quittes à être susceptibles. Conscient de ses qualités, le Gémeau peut parfois faire preuve de prétention.
En amour, les Gémeaux sont exigeants, sans pour autant être possessifs ou jaloux. Attention à ne pas trahir leur confiance, ils accordent difficilement leur pardon quant il s’agit de l’affectif… La femme Gémeaux s’entend très bien avec le Sagittaire, son signe opposé, car tous les deux possèdent le même appétit d’aventures et de changements. L’honnêteté du Sagittaire saura la séduire tandis qu’un Lion, l’un de ses signes complémentaires, lui apportera un sentiment de protection et de stabilité.
La gnose est une croyance philosophico-religieuse, qui a pour concept cardinal le fait que le salut de l’âme passe par la connaissance de la divinité et donc, par une connaissance de soi. Elle se distingue d’autres croyances par son aspect philosophique puisqu’elle ne se limite pas à la foi, à la prière ou à la dévotion.
La gnose qui va donc à l’encontre même de la théologie chrétienne, peut pourtant prendre diverses formes et en se borne pas seulement au dénis de toute forme divine. On trouve en effet des gnostiques chrétiens, qui incluent l’idée que Dieu est bel et bien à l’origine de la création mais ne reconnaissent pas forcément l’autorité de l’église chrétienne.
Selon les gnostiques, chaque être possède une part divine et un savoir déjà acquis qui ne demande qu’à se développer à nouveau au fur et à mesure des incarnations.
Par ailleurs, la Gnose laisse supputer que le fonctionnement du monde repose sur le duel permanent de force obscure et de forces de la lumière. Son fonctionnement ressemblant ainsi à la signification primaire du yin et du yang.
La gnose est une théorie antique déjà ancienne, qui a pourtant été « remise » à l’étude et au goût du jour, après la découverte en 1945 des manuscrits de la bibliothèque de Nam Hammadi. Ces manuscrits sont formés de treize codex datés du IVéme siècle et on été découverts au nord ouest de Louxor.
De célèbres alchimistes ou occultistes connus se sont déclarés adeptes de la Gnose, cette dernière véhiculant en effet des idées occultes et mystiques très marquées. Posséder la Gnose étant synonyme de posséder la connaissance totale et donc les secrets de la création, de l’univers et de la vie dans son tout, en passant généralement par des rites initiatiques qui mènent à l’illumination.